Et je te retouve aprés des années

Invité

Lorsque la cloche sonna, la prof d’histoire donna un coup de baguette vers sa classe qui studieusement était en train de finir leurs devoirs. Les parchemins s’envolèrent avant de venir ce poser en tas compact sur le bureau :

-Bon travail les Serdaigle aller hop en métha à présent !

Fis-elle en ferment la pochette qu’elle glissa dans son sac de toile ou elle y jeta sa règle et sa trousse ainsi que les autres piles de cours.
Les élèves saluèrent leur professeur avant de quitter la classe du 3eme étage.
Une fois la clase vide Jacqueline, jeta son sac sur l’une de ces épaules et donna un coup de clefs avant de descendre les escaliers en pierre grise parmis les élèves des différentes maisons et classes. Elle fis un petit dés tour par la classe d’Alex ou elle le vit une boite d’allumette en main en train d’expliquer toute l’importance de l’objet pour leurs amis les Moldus. La jeune femme eue un sourire en le voyant passer une main dans ces cheveux ne sachant pas trop savoir quoi répondre à son élève devant lui.
Une fois arrivées dans le hall, elle salua le fantôme des Serdaigles avant de partir vers le portail en fer du domaine. Des qu’il fus franchis, elle transplana dans le salon de son appartement ou elle posa son sac prés de la porte de son bureau avant d’aller vers sa chambre. Elle donna un coup de baguette vers le lit qui se fis et ouvrit les volets. Le départ du matin fus plutôt brutal pour la jeune prof et elle n’avait pas eu le temps de ranger l’appartement qu’elle partageait avec son copain. Elle enleva sa robe de sorcière qu’elle envoya en boule dans le panier en osier avant d’ouvrire son armoire et d’y pioché un tunique blanches avec quelques motif au fil bleu au bout des manches et en bas. Elle enfila un jean, sauta dans ces tennis et alla ce faire un bain de toilette dans la salle de bain avant de prendre son sac et sa veste noire qu’elle enfila. Elle glissa sa baguette dans sa poche et marqua un petit mot à l’intention d’alex sur la planche du frigo : « Je suis chez Ueble. T’en fais pas ça va aller et je risque de rentré tard. M’attend pas pour mangé si tu as faim….Tu était marrant avec ta boîte d’allumettes en main ^-^ bisouxxx je t’aime. Jacqueline. »

Une fois finit, elle laissa tomber la craie attaché à la ficelle et transplana dans une ruelle mal éclairée et ouvrit son parapluie pour ce protéger de l’averse qui commença. Jack remis une de ces mèches en arrière avant de sortir de la ruelle et ce mêla à la foule des passants parlent sa langue natale. La jeune femme eu un sourire en les entendant parler ainsi et tourna au bout de la rue à droite avant de pousser la porte d’une petite boutique. Elle ferma la porte derrière elle, et plia son parapluie qu’elle envoya avec celui qui se trouver déjà dans le porte-parapluie en fer forgé.

-J’arrive !

fis la voix d’un homme venant de l’arrière boutique.
Jack passa ces mains dans ces cheveux alors qu’un petit homme d’une cinquantaine d’année passer le rideau qui mené à son arrière boutique laissent voir à l’occasion quelques pots sur des étagères. Vêtu d’une chemise blanche et d’un pull rouge, cela ne faisait que faire ressortir ces deux billes ocre qui lui servait d’œil ainsi que la couleur de ces cheveux qui tirais vers le gris et sel. Un pantalon noire finissait sa tenue avec une paire de chaussures.
A sa vue, Jack eu un sourire et eu la joie de reprendre sa langue natale :

-Bonjour Dietrich, tu vas bien ?

-Oh mais c’est ma jeune Pratt ! Comment tu vas ?

fis l’homme en venant poser deux bisou sonore sur les joues de la jeune femme qui venait de passer la porte de sa boutique.

-Bien bien ! fis elle en lui sourient. Mais dit moi tu t’es fait couper les cheveux !

Remarqua t’elle à la longueur plus courte des cheveux du masseur.

-Bah tu sais c’est plus de mon âge de passer des heures devant la glace avec une brosse à cheveux !

rigola l’homme en l’invitant à la suivre dans l’arrière boutique.

-Mais je vois moi par contre que le tien on retrouvé un peu la longueur de ceux d’une fille!

Jack eu un sourire en coin avant d’enlever sa veste qu’elle posa sur le dos de la chaise qui ce trouver dans la pièce qui était aménagé en salle de massage. Elle retira ces chaussures tout en disant :

-Disons que ça fait mieux d’avoir les cheveux un peu plus long quand on est prof et non plus élève.

Dietrich eu un sourire en coin avant qu’elle n’enlève sa tunique et que ces yeux ne ce posent sur les marques du dos de sa cliente mais amie avant tout. Il eu une grimace avant de soupiré dépité :

-A ce que je vois sa te fais toujours mal….

Jack posa sa tunique sur le dos de la chaise avant de s’assoire sur la table ou une serviette de bain rouge avait était mise pour l’empêcher d’avoir le froid du cuir sur elle.

-Disons que sa tire toujours un peu quand je suis fatigué.

L’homme ce mis derrière elle et posa ses mains sur les marques faites sur le dos clair de la jeune femme. Des marques au fer rouge était apposé ça et là mutilent le dos et en y laissent des marques rouges qui malgré les années n’avait pas tellement bouger.

-Qu’elle folie de t’avoir punie de la sorte….

Fis il avant de quitter la pièce, laissent Jack un instant seul. Les chevilles croisé, la jeune femme entendis des bruit de pots, de l’eau que l’on fait couler, un bol qu’on remplis, puis un autre avant d’entendre un mortier tourner dans son récipient.
Les marques qu’elle portaient étaient toutes injuste peut-être mais elles étaient là depuis tant d’année que Jack n’avaient jamais penser à ce les faire enlevé. Elles faisaient partie intégrante d’elle d’un certain côté et puis cela ne la gêné pas. Quand Dietrich reviens dans la pièce, il posa un plateau en fer sur la petite table et fis signe à Jacqueline de s’allonger.

-Alors dis moi qu’est ce qui te rend si bien ?

demanda t’il alors que Jack avait croiser les bras, posant son menton au milieu.

-Comment ça ?

-Jacqueline Pratt me prend pas pour plus vieux que je ne suis et raconte moi….alors c’est qui ? tu sais bien que je le dirais pas

Jack eu un sourire. Il était dure de cacher quoi que ce soit à cet homme au mains d’or qui arrivait à deviner tout ce qui arrivé à la jeune femme même lorsqu’elle faisait tout pour le cacher.

-Disons que j’ai un grand soleil dans ma vie qui s’appelle Alexander.

Avoua t’elle en regardent le mur face à elle ou une image de paysage était en poster.

-Et bien tu vois quand tu veux ! Alors si c’est lui tout va bien dit moi ^^

L’homme appliqua un peu de la pommade qu’il avait préparé sur le dos de la jeune femme et commença à la masser tout en appuient un peu sur les marques. Pratt serra les dents lorsqu’il appuya sur celle qui ce trouver en plein milieu de sa colonne et qui la faisait souffrire plus que les autres. Ayant vu la réaction, Dietrich commença un massage doux et lent tout en lui posant des questions sur son nouveau copain ce qui tira un rire à la jeune brune qui contre toute attente ce prêta au jeu.
Elle lui expliqua ce qu’il c’était passer depuis la rentré à Poudlard, alex et yumé, leur nouveau couple, sa frustration personnelle face à eux, sa jalousie vis à vis de sa meilleure amie si heureuse, le départ de Per et la découverte des sentiment d’alex pour elle ainsi que la rupture.

-Et en plus il te mord !

Râla gentiment l’homme en tournent le poignet de la jeune femme ou était encore visible la marque des dents du brun.

- Il est cannibale ton meilleur ami c’est pas possible !

Jack rigola alors que la porte de la boutique s’ouvrit de nouveau faisaient froncer les sourcils de l’homme.

-Je reviens mais tu peut te rhabiller j’en ai finit avec toi cette fois ci.

Fis il en s’essuient les mains tout en quittent la pièce avant de saluer son nouveau client.
Jack mis ses pieds sur le sol alors qu’une voix ce fis entendre. La jeune femme sentie son cœur s’accéléré quand le son lui parvint et crut tomber sur le sol. Depuis combien de temps n’avait t’elle pas entendu cette voix ?
Elle enfila sa tunique sauta dans ces chaussure et passa le rideau pour ce trouver face à lui aux côté de Dietrich.
Un homme d’une trentaine d’année, parapluie en main la regarda avant d’écarquiller les yeux. Vêtu d’un long manteau noir il fixa la jeune femme qui lui lança un regard noir plein de haine et de mépris.

-A ce que je vois tu n’as pas changer d’un pouce sœurette !

lança t’il en rigolent.
Face à elle, son frère Billy avait beaucoup trop changer à son goût . Les cheveux toujours aussi long, des yeux devenu presque noir à cause de l’école et des heures passer à apprendre la Magie noire. Un homme d’affaire dirons nous mais pas du bon côté. côte à côte et si on enlevé la couleur des yeux on aurait pus croire qu'ils étaient jumeaux tous les deux

-Et toi beaucoup trop !

Lança froidement Jack en enfilent sa veste sans même pretait attention à l'homme face à elle;alors que le masseur ce sentait de plus en plus mal même si ces murs étaient les siens.

-Alors ça fait quoi d’être à la botte d’une école comme Poudlard ?

Demanda le brun tout en prennent une boite d’herbes qu’il fis semblant de regarder avant de la poser sur le comptoir en bois.

-Et toi Billy, sa fait quoi d’être à la botte d’un connard comme notre père ?!

Fis la jeune femme un sourire ironique mais cruel en coin. Elle haussa un sourcils avant de faire la bise à l’homme. Qui ce trouvait à ces côtés.

-Merci Dietrich je te dois combien ?

L’homme recula d’un pas comme vexer.

-Mais tu te fiches de moi ou quoi ?! Aller hop zou fille moi de là il doit t’attendre en plus et je pense pas qu’il aimerais que je te fasse payer et puis repasse dans la semaine je te donnerai tu sais quoi.

Fis il tout en la poussent un peu vers la porte.

-Me payer et puis quoi encore !

Ajouta t’il en sourient alors que sa cliente prenais son parapluie.
Jack lui fis deux bise de chaque côté avant de lui sourire :

-Merci beaucoup ! Promis je passe dans la semaine avec ce que tu refuse jamais !

A ces mots les yeux de l’homme s’illuminèrent et il fis d’une voix d’enfant :

-Avec des copeau de chocolat ?!

Jack leva les yeux au ciel avant de passer la porte un sourire sur le visage, ne prêtent même pas attention à son frère, elle quitta la boutique et transplana de nouveau chez elle sachant qu’elle venait de gagner une bataille à plate couture.

TERMINER